Je suis tombé récemment sur un petit texte que j’aime beaucoup et qu’on m’avait partagé il y a plusieurs années. Il s’agit encore d’une contemplation morose de l’activité humaine sur Terre, mais cette fois du point de vue d’une personne au cœur de la ville, rêvant d’espaces verts et d’air pur. Ici la candeur est remplacée par une profonde lassitude. En relisant ce texte, je n’ai pu m’empêcher de penser au nuage de smog enveloppant le nord de la chine (je vous recommande également d’aller visionner ce diaporama du figaro, les images sont incroyables).
Phenixgoglu
Février 2013